Compétitivité, inflation, récession et solutions via l’amélioration des capacités d’autofinancement
Depuis la fin du mois de juillet, la presse multiplie et relaye les alertes économiques :
« Oui, nous allons manquer de gaz et d’électricité et notre facture va exploser » (Interview par Ronan Planchon du très pertinent Fabien Bouglé qui pointait la suite de mauvais choix énergétiques français et européens depuis des années – Le Figaro 22 juillet 2022. Mais comme la plupart des gens vont voter sans s’informer ni se soucier de l’intérêt général, au profit du nombrilisme… La France et les français récoltent maintenant ce qu’ils ont semé depuis 15 ans !)
« La réindustrialisation, un chantier colossal pour l’Europe » (Grégoire Normand dans La Tribune le 22 juillet 2022)
« Le monde «au bord d’une récession mondiale», selon le FMI » (Anne-Sophie Lechevallier dans Libération le 26 juillet)
« L’économie se contracte en France, la récession se précise en Europe » (Grégoire Normand dans La Tribune le 23 août 2022)
« 19.000 chefs d’entreprise ont déposé le bilan au premier semestre 2022 » (Wilfried Devillers sur Europe1 le 29août)
« L’économie mondiale au bord du précipice » (Richard Hiault dans Les Echos le 07 septembre)
« La Banque centrale européenne ouvre la voie à la récession » (Martine Orange sur Médiapart le 08 septembre)
« La zone euro va subir à la fois une forte inflation et une récession cet hiver » (Marc Touati, toujours aussi « piquant » et pertinent dans Capital le 08 octobre – A lire absolument pour sa franchise et sa perspicacité)
« Près de 9 000 défaillances d’entreprises comptabilisées cet été, soit 69% de plus que l’an dernier » (France Info 11 octobre 2022)
« Les sombres prévisions du FMI pour l’économie mondiale » (Julien Bouissou dans le Monde du 11 octobre)
Ces alertes se sont concrétisées depuis des semaines et sont maintenant aggravées, en France, par cette pénurie de carburant qui augmente encore davantage les pressions sur les entreprises déjà durement impactées par les conséquences tarifaires dramatiques de la crise énergétique, par la hausse de l’inflation et la pression des revendications salariales qui viennent impacter toujours plus la dégradation des marges. Et donc la rentabilité.
Comment faire face ? Ou du moins, comment redonner un peu d’oxygène -autant que faire se peut- aux entreprises ?
Une des solutions consiste à aider les entreprises à identifier puis réduire leurs coûts complets. C’est-à-dire à la fois leurs coûts visibles ET leurs coûts cachés ou « évitables ». Ce qui leur permettra, in fine, d’améliorer leur Excédent Brut d’Exploitation (EBE) et leur capacité d’autofinancement.
Car il existe trois sources de financements : les fonds propres, la capacité d’emprunt et les capacités d’autofinancement. Or, dans un contexte de resserrement du crédit, la troisième source est la plus facilement actionnable.
Or la conversion des coûts complets en bénéfices cachés reste la meilleure façon d’améliorer les capacités d’autofinancement d’une entreprise avec un effet vertueux obtenu dans un délai de 6 à 12 mois lorsque cette conversion est correctement mise en œuvre avec la bonne méthodologie.
Autre intérêt de cette approche : contrairement aux démarches de cost cutting qui ne s’intéressent qu’aux seuls coûts visibles, elle permet de maintenir puis d’augmenter l’engagement des collaborateurs, notamment par sa dimension participative et vertueuse.
Et, autre avantage, avec un ROI de 2 à 10 pour un euro, dans un délai de 6 à 12 mois seulement.
Les dirigeants des entreprises qui souhaitent traverser aussi bien que possible cette tempête annoncée par la presse, devraient prendre le temps d’examiner ces solutions disponibles et facilement actionnables dans des délais relativement courts.
Pour en savoir plus sur ces solutions, cliquez sur le bouton ci-dessous pour accéder à une présentation plus détaillée.
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