Future of work : les arguments en faveur d’une plus grande flexibilité d’horaire pour les travailleurs rémunérés à l’heure

Quelle est la chose la plus précieuse et que personne ne peut racheter ?

Le temps ! Et celui qui est perdu ne se rachète pas.

Et, en parallèle, le Future of work est fortement lié à la gestion du temps. Et certaines bonnes pratiques peuvent répondre aux enjeux de réengagement des collaborateurs.

« Mettez des barrières autour des gens et vous obtiendrez des moutons » disait le Président de Dupont-Nemours en… 1924. Donc, si vous voulez des collaborateurs proactifs et engagés, mieux vaut faire l’inverse.

C’est l’exemple que donne Cécile Alper-Leroux dans son article « The case for giving hourly workers greater scheduling flexibility » qui traite d’un des volets du Future of work. Elle montre, avec un peu de parti-pris vu sa position, les bénéfices de la flexibilité des horaires, y compris pour des postes auxquels on ne pense généralement pas. Comme certains emplois à temps partiels basés sur des vacations horaires.

Elle indique quelques pistes intéressantes, selon moi :

1/ sortir de l’état d’esprit rigide de la semaine de travail de cinq jours et des vacations uniformes.

Certaines entreprises dans le commerce de détail, par exemple, passent de vacations de deux heures à 30 minutes devant les clients pour préserver l’attitude positive de leurs collaborateurs.

2/ Donner aux employés le contrôle en temps réel de leurs horaires

Grâce à de nouveaux outils plus souples de planification, permettre aux employés de modifier eux-mêmes leurs vacations (échanges avec des collègues, par exemple) sans la supervision d’un responsable.

3/ Permettre aux employés de planifier eux-mêmes

Selon Robert Half, cette auto-planification est autorisée par 41 % des managers aux USA et semble améliorer fortement l’engagement et faire diminuer l’absentéisme.

Pour l’auteur, fournisseur de solutions RH et de gestion des effectifs, quand « 30 % des personnes se sentent entendues par leur entreprise en ce qui concerne leurs horaires de travail », selon un rapport du Workforce Institute, la souplesse proposée devient un avantage concurrentiel car commercial.

Et cet assouplissement de la gestion du temps et de l’équilibre vie pro-vie perso s’appuie sur les deux leviers de la motivation intrinsèque de l’être humain : l’autonomie et la responsabilité. Ils ne peuvent donc qu’améliorer fortement l’engagement.

Vous voulez améliorer le Future of work et la gestion du temps organisationnelle & managériale de votre entreprise ?  Découvrez notre accompagnement et contactez-nous.

Et inscrivez-vous à notre newsletter Future of Work et Gestion du temps et des priorités.

Si vous aimez ce post et/ou connaissez quelqu’un à qui il sera utile, commentez et partagez 😊