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La journée TruGeneva RH du 08 septembre dernier a constaté, comme partout, la nécessité pour les entreprises d’améliorer l’attractivité, l’engagement et la rétention de leurs collaborateurs. En résonnance avec un rapport français porté par Jean-Dominique Senard et Nicole Notat, qui pointait en juin dernier la perte de sens et le désengagement des salariés qui marquent tous les milieux professionnels.

Retour sur trois styles de leadership qui ont connu le succès selon l’entreprise, sa situation, son besoin et sa culture. Et qui peuvent nous inspirer.

La raison d’être, selon moi, revêt une importance qui va devenir de plus en plus croissante en raison de l’évolution sociétale. Dont l’évolution normative liée à l’environnement, avec le domaine de la RSE.

Dans un de mes précédents posts, il y a un mois, je parlais des dangers de l’ego des managers et/ou des dirigeants. Puis, il y a quelques jours, des collaborateurs victimes du syndrome de l’imposteur. Cette fois, c’est l’inverse. Comment gérer des collaborateurs victimes de l’effet Dunning-Kruger ? Ce biais de sur-confiance que Daniel Kahneman, Prix Nobel d’économie comportementale en 2002, juge lui-même comme « le plus dangereux ».

Quelles sont les expressions à privilégier et d'autres à éviter en milieu professionnel ? Comme, par exemple, demander pardon, invoquer la chance et minorer notre contribution…

Au milieu de milliers de compétences, certaines sont universelles et joueront en votre faveur peu importe la situation dans laquelle vous vous trouvez.

Pour améliorer son rapport aux autres, il faut améliorer son rapport à soi-même. A commencer par la confiance en soi, pour s’ouvrir et faire plus facilement confiance aux autres.

La responsabilité sociale et environnementale (RSE) et l’entrée en vigueur de la directive européenne CSRD en janvier 2024 concernent -aussi- les PME mais elles sont encore peu nombreuses à formaliser leurs pratiques. Pourtant, entre pression sociétale et réglementation, la contrainte va crescendo.

La différence entre décrocher la coupe du monde et perdre au 1er tour ? En tant que manager, vous avez certainement une préférence… Alors comment favoriser un engagement collectif et un fonctionnement clair et souple ?

Voici l’erreur inconsciente que commet une majorité de leaders (et donc de dirigeants). Croire en soi et ne pas se dévaloriser est important. Mais surestimer son ego et ne pas approfondir sans cesse ses connaissances est contre-productif pour un leader.